Un programme scientifique construit par et pour les professionnels de la filière
L’émergence du programme de recherche et d’innovation de l’Institut est guidée par les orientations données par les professionnels de la filière et par les pouvoirs publics.La construction de ce programme est alimentée :
- Par la consultation des professionnels, en régions et via le conseil stratégique de l’innovation (CSI) de l’interprofession VAL’HOR.
- Par la veille réalisée par les équipes au travers des publications professionnelles, techniques et scientifiques, mais aussi de visites de centres de compétences.
- Par des séminaires prospectifs conduits avec l’appui du conseil scientifique de l’Institut.
- Par la prise en compte des orientations des politiques publiques et la participation aux lieux de consultation nationaux et régionaux (Commissions régionales Agroécologie, Agences régionales de la biodiversité...) et des échanges réguliers avec les représentants de l’Etat (DGPE, DGER, DRAAF...).
Les équipes sont appuyées par le Conseil scientifique dans la construction des projets, dont la qualité et la pertinence sont ensuite appréciées par les jurys des appels à projets publics et privés auxquels ils sont présentés. Le CSI de VAL’HOR sélectionne les projets auxquels l’interprofession apporte son soutien financier en complément des financements publics, en cohérence avec les objectifs du plan de filière. La coordination des projets de l’Institut est assurée par la Commission Technique, présidée par deux vice-présidents de l’Institut.
Les résultats des projets arrivés à leur terme sont discutés avec le Conseil Scientifique qui accompagne les équipes dans une démarche d’évaluation ex post pour préparer les programmes suivants.
Un programme scientifique qui répond à différents besoins et enjeux
Dans son travail pour les professionnels de la filière, ASTREDHOR mène une grande variété de projets : de la production de savoirs à la mise en place de démonstrateurs, en passant par l’acquisition de références et le développement d’innovations.
En raison de la dépendance des entreprises de l’horticulture et du paysage aux caractéristiques pédoclimatiques, les programmes de recherche de l’Institut sont menés à plusieurs échelles : régionales, interrégionales, nationales et européennes. La construction de ces projets associe donc une grande diversité d’acteurs (locaux, nationaux, internationaux) et de modes de financement (privés, publics, européens).
Enfin, l’Institut mène également des travaux plus exploratoires discutés avec le conseil scientifique qui donnent aux ingénieurs de recherche la liberté intellectuelle nécessaire à la créativité et à la prise de risque.